Le rapport annuel officiel de France 2030 sur la stratégie [1] dans le domaine quantique donne les priorités de développement pour l’avenir.
Parmi celles-ci, le projet « QUBITAF » vise à développer les plateformes de calcul quantique ayant déjà démontré un intérêt pour la simulation quantique. Les réseaux optiques d’atomes de Rydberg sont un exemple de telles plateformes pour lesquelles le projet vise à augmenter le nombre d’atomes et à étudier l’impact des mécanismes de dissipation sur les performances de calcul.
Pour réussir un tel challenge, les équipes impliquées dans le projet pourront avantageusement s’appuyer sur la propriété intellectuelle. En particulier, les avancées techniques relatives à la manipulation de ces qubits et aux nouveaux algorithmes quantiques exploitant ces plateformes sont centrales pour ce projet. Elles ont fait l’objet d’une protection par brevet, ce qui permettra aux équipes de disposer d’un monopôle sur celles-ci.
Et vous, avez-vous bien protégé toutes vos inventions pour bénéficier d’un tel avantage compétitif ?
Les spécialistes Lavoix se tiennent à votre disposition pour toute question.
[1] Rapport annuel officiel – France 2030
Pour plus d’informations, contactez Anne-Sophie Auriol et Arnaud Pouderous.